Oiseau qui frappe à la vitre ?

[jose29]

Bonjour,
Je publie dans ce message une question que je viens de recevoir par mail d'une personne très intriguée.
Ma réponse vaut ce qu'elle vaut, mais si ça peut servir...il y a peut-être d'autres explications

Je vous en prie dites-moi comment me débarasser d'un pinson qui tape avec son bec sur la baie vitrée du salon toutes les deux minutes!!!!et me rend folle , il se jette dessus comme un fou . Aidez- moi je vous prie et merci de tout coeur de m'expliquer son comportement et que faire , MERCI

MA RÉPONSE :

Il y a plusieurs versions concernant ce comportement :
- oiseau qui réclame à manger..
- oiseau qui recherche le mastic des fenêtres.....
- oiseau qui voit son reflet dans la vitre et croit distinguer un concurrent...
La saison de reproduction débute..ça doit être un mâle pinson.
A mon avis, je penche plus pour la dernière hypothèse, surtout si vous
n'aviez pas l'habitude de proposer de la nourriture aux oiseaux, en
automne et en hiver...
Vérifiez si votre vitre a bien un reflet de miroir.
Solution : si possible mettre un obstacle ou coller provisoirement un papier ou un tissu pour masquer le reflet..et il devrait changer d'endroit.
Cordialement, et kénavo,

[Gouldy]

Bizarre en effet le comportement de cet oiseau. Si j'avais dû donner une réponse, je dois dire que je n'aurais pas pensé au mastic de la fenêtre mais pourquoi pas. La nourriture aurait été une des premières réponses. Le reflet, oui, c'est bien possible. Est-ce que c'est possible aussi un oiseau apprivoisé qui pense avoir retrouvé sa maison ? Peut-être aussi des chants d'oiseaux dans la maison qui attire. Je n'ai pas d'autres réponses qui me viennent en tête malheureusement. Si j'avais un aussi joli petit oiseau qui vient frapper à ma fenêtre, je l'inviterais bien volontiers pour quelques repas. Je précise cependant que les oiseaux qui ont vécu en liberté serait malheureux en cage. Lorsque mon père me propose d'attraper un tarin dans son jardin, je lui donne toujours la même réponse : "qu'il est bien mieux en liberté". Gouldy.